De retour, le Lundi : un post qui n'en est pas un

Je n'ai naturellement plus rien à faire de sérieux pour le boulot. Mais je me dois d'être là, jusqu'à Jeudi soir au moins. A ce moment là, ma direction me demandera de ne plus mettre les pieds ici. J'ai intérêt à dire au revoir à tout le monde d'ors et déjà. Ma stratégie est maitenant bien établie. Je fais aussi ce qu'il faut en vue de la négociation qui reste à mener. C'est bon d'avoir des amis qui s'y connaissent dans ce genre de choses. Je me sens soutenu. D'ailleurs, c'est bon d'avoir des amis tout court.

Alors, je range mes affaires. Je n'arrête pas de ranger. En amour comme en amitié, j'ai toujours aimé laissé une place propre en partant. C'est mon élégance à moi et c'est la même chose au boulot. Je pense à ceux qui auront à prendre ma suite, s'il y en a ; eux n'y sont pour rien. Je ne vois plus du tout les choses comme Mercredi dernier.

Je pense aussi aux points positifs qui accompagnent ce licenciement. Il en existe de nombreux et je prends plaisir à les répertorier.

Je pense aussi que, dans quelques jours, j'aurais plus de temps pour faire de ce blog quelque chose de bien. Comme quoi, tout le monde ne va pas perdre au change. Mes lecteurs vont ainsi y gagner. J'en connais qui vont être content(e)s.  Déjà, je pourrais parler des film que j'irai voir. Et raconter mes orbites quotidiennes. Ma liste des blogs préférés risque aussi d'exploser. Il va s'en passer des trucs ... wyzzzz !